Une visite chez Carrosserie Vannerum
Carrosserie Vannerum se situe à Zellik, un emplacement central en Belgique. Cette entreprise est reconnue pour sa longue expérience et ses finitions de qualité. Ces atouts assurent une croissance constante chaque année. Ce qui a commencé comme une petite entreprise s'est rapidement transformé en une entreprise familiale prospère. Aujourd'hui, cette carrosserie est une référence pour de nombreuses compagnies d'assurances, entreprises de leasing et institutions gouvernementales. Nous avons rendu visite à cette carrosserie, où père et fils travaillent côte à côte.
Carrosserie Vannerum réunit trois générations sous un même toit. Le grand-père Vannerum a ouvert le premier atelier de carrosserie chez l'importateur Renault Trucks. Il fut rapidement rejoint par son fils Marc. Ensuite, tout s'est accéléré, et après seulement un an, l'entreprise comptait déjà quatre employés. “Nous avons commencé en 1982 comme petite entreprise dans un garage de 300 m² à Sint-Agatha-Berchem,” explique Marc Vannerum, fondateur et propriétaire. "Six ans plus tard, les anciens bâtiments de la chocolaterie Neuhaus à Zellik ont été mis en vente. C'était un emplacement idéal, avec des bâtiments spacieux et un grand parking. Mais avec 1 hectare, c'était bien trop grand pour nos activités. Au départ, nous envisagions d'utiliser seulement la moitié. Malgré le risque immense d'un tel achat, nous avons décidé de faire le grand saut. Et nous ne regrettons pas ce choix,” explique fièrement Marc. Les anciens bâtiments ont été entièrement rénovés et transformés en bureaux et en atelier, totalisant 5000 m².
Lors des travaux d'agrandissement, presque tout a été démoli, et un nouveau toit a été installé. Le confort et l'aménagement pratique de l'atelier ont aussi été pris en compte. Il fallait assurer une circulation fluide et des divisions claires, créant en fait un circuit. Marc explique : “Nous avons divisé l'espace comme suit : démontage et montage (douze zones), carrosserie et redressage (quinze zones), préparation (quatorze zones), peinture (quatre cabines de peinture) et enfin, un car-wash et une zone de finition. Comme nous effectuons 60 à 70 missions par semaine et que nos voitures de remplacement doivent également rester en parfait état, ce car-wash n'est pas un luxe !”
Un hall séparé pour le centre de camions est spécialement adapté aux besoins et dimensions des camions et des bus. Il dispose d'une cabine de peinture extra haute de 18 mètres de long. Marc ajoute : “Notre emplacement en périphérie de Bruxelles est vraiment un atout. Nous sommes facilement accessibles, ce qui nous permet d'avoir des clients venant de Flandre, de Wallonie et de Bruxelles.”
Aujourd'hui, des équipements fiables sont essentiels pour fournir un travail de qualité. Chez Vannerum, nous travaillons avec différents partenaires réguliers. “Nous avons développé une relation étroite avec Festool, donc nous n'utilisons aucun autre appareil pour le ponçage,” dit Marc. “Auparavant, nous utilisions d'autres ponceuses, mais depuis la rénovation de l'atelier, nous sommes passés à Festool. Nous avions souvent des problèmes d'appareils cassés et des réparations presque constantes. Pour nous, le service personnalisé de l'entreprise est déterminant. Si nous avons des questions ou besoin d'aide urgente, nous les appelons, et ils sont à notre porte en une à deux heures.”
“Nous travaillons également en étroite collaboration avec Standox pour nos matériaux de peinture. Quand je faisais de la course, ils étaient nos sponsors et nous ont beaucoup soutenus,” se souvient Marc. “Tout fonctionne bien sur le plan commercial, et nous avons également de bons contacts personnels.” Les cabines de peinture ont été installées par nous. “Nous sommes satisfaits de la qualité des cabines et de l'assistance en cas de problème,” confie Marc. “Ce service est essentiel car nous voulons également respecter nos délais de livraison pour nos clients. Actuellement, nous avons quatre cabines de peinture pour les voitures.”
Johan : “Si vous voulez survivre, vous devez constamment innover. L'immobilisme, c'est le recul. Il est donc prioritaire d'investir dans les dernières techniques. Nous avons développé notre spécialisation dans le débosselage sans peinture en investissant dans des formations. Comme les coûts de réparation doivent toujours être aussi bas que possible, tant pour les compagnies d'assurance que pour les particuliers, cette technique est idéale pour contrer la crise. À ce stade, nous ne pouvons pas dire que la crise nous a affectés. Nous pensons que c'est dû au bouche-à-oreille.”