Sima

REALISEZ DES ECONOMIES FINANCIERES GRACE A UNE VENTILATION ADAPTEE A VOTRE CABINE DE PEINTURE.

Il ne fait aucun doute que l’énergie – dans n’importe quelle industrie – devient un coût sans cesse croissant. Il y a beaucoup de raisons de jeter un regard critique sur tous les aspects inhérents au processus de peinture. De manière générale, le débit d’air dans cabine de peinture est habituellement adapté aux dimensions de la cabine elle-même, mais on peut également se focaliser sur les travaux de peinture spécifiques. En effet, nous pouvons vous proposer un système et débit de ventilation optimisé en fonction de votre process d’application, qui vous permettra d’économiser plusieurs milliers d’euros.

Un environnement de travail optimal

Pour les cabines de peinture, un système de ventilation n’est pas une option, mais une nécessité. De plus, un environnement de travail optimal profite non seulement à la santé des employés mais contribue également à un résultat de pulvérisation de haute qualité.  

1. Ventilation de toute la cabine

      . D’une manière générale, la ventilation est réalisée sur toute la surface sans se soucier de la position de l’opérateur. En d’autres termes, le débit requis est calculé en fonction de la surface de la cabine.   Pour des cabines jusqu’à environ 20 mètres de long, le choix pour une ventilation classique est certainement justifié. Toutefois, si la surface à ventiler est plus grande, une approche alternative mérite d’être considérée. Après tout, les besoins énergétiques augmenteront de façon exponentielle, alors que le travail de pulvérisation en soi restera concentré dans une seule petite zone par rapport à la totalité de la cabine. Comparez-les à l’éclairage dans une maison : les personnes qui laissent les lumières allumées partout au lieu de simplement les allumer là où ils se trouvent, gaspillent non seulement de l'énergie, mais aussi de l'argent.

      . Une première approche alternative peut être prise en compte quand ce sont uniquement des objets de mêmes dimensions qui doivent être traitées. Si c’est le cas, il est conseillé de ne ventiler que l’espace autour de l’objet mais avec un débit légèrement plus élevé, et donc plus sur toute la surface de la cabine. Cela se traduira par une réduction du débit total, à condition qu’aucune autre pièce plus petite ne soit peinte.

      . S’il existe une grande diversité dans la taille des objets à peindre, un volet roulant intermédiaire peut apporter une solution afin de réduire les coûts énergétiques. Ce concept offre la possibilité de réduire temporairement la surface de la cabine, ce qui réduira également le débit et la consommation proportionnellement à ce moment-là. Le débit de ventilation peut donc être réduite lors du pistolage des objets plus petits, tout en conservant la possibilité de peindre de plus grandes objets.

alstomvalenciennes17002.jpg

2.Ventilation fractionnée

Le concept le plus avancé de ventilation pour une (grande) cabine de peinture est la ventilation fractionnée.  Bien qu’ici aussi – comme pour la solution avec une porte intermédiaire – il y ait une division de la cabine, cette forme de ventilation n’est pas un zonage physique, mais purement virtuel. En divisant l’espace en zones de 2,7 à 3 mètres chacune – chaque zone disposant de sa propre conduite d’arrivée et d’extraction d’air pilotée par un registre – il est possible d’adapter la ventilation en fonction de la position de l’opérateur en cabine. Concrètement, la vitesse d’air est augmentée là où les travaux sont effectués, alors que les autres zones disposent uniquement d’une ventilation résiduelle. Le débit d’air total reste inchangé.

Le pilotage de cette solution alternative de ventilation dynamique peut se faire soit via un bouton poussoir dans la zone de travail respective, soit de manière automatique par l’intégration d’un système de nacelles élévatrices avec cellules de détection de position.  

Dans sa forme la plus intégrée et toujours acceptée, le système de ventilation fractionnée est lié à des nacelles de travail, de sorte que les zones actives soient ajustées automatiquement en fonction de la position de la nacelle. Puisque l’opérateur est toujours dans (ou juste à côté) de la cage des nacelles, la ventilation optimale sera toujours là où l’action se déroule l’activité.  

L’autre variante est un interrupteur permettant d’activer manuellement une zone spécifique. Cela peut réduire la consommation d’énergie, à condition que l’utilisateur soit discipliné.  Après tout, si le tuyau d’air comprimé est assez long pour peindre dans une autre zone, alors que cette zone n’est pas sélectionnée, le système ne sera pas en mesure d’intervenir. Toutefois, les opérateurs sont subtilement rappelés de leur oubli grâce au système de sécurité qui réduit l’intensité de l’éclairage dans les zones non ventilées.  

Conclusion

En général, plus le rapport hauteur-largeur des gros objets est grand (là où la ventilation autour de l’objet n’a pas beaucoup d’effet), plus le potentiel d’économie - en choisissant la ventilation fractionnée - est grand. Les bus, tramways, trains, mais aussi les mâts et les pales d’éoliennes sont de bons exemples de pièces pour lesquelles la ventilation fractionnée peut générer une économie importante.


Posez votre question
Menu